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Glass [Film] 2019

Super-héros | USA, Chine |

Sur la piste de la Horde, le sociopathe aux personnalités multiples, David Dunn, alias le superviseur, tient un magasin d'articles de sécurité avec son fils Joseph. Celui-ci lui propose de quadriller le secteur industriel, et comme David a le pouvoir de voir les souvenirs des personnes en les touchant, il découvre où les pompom girls sont retenues prisonnières en croisant Barry (la personnalité enfantine de la Horde). A armes égales avec la Horde, ils peuvent enfin se mettre sur le coin de la moule, mais sont arrêtés par la police lors du combat, et enfermés dans un centre spécialisé. Très spécialisé.
Car mrs. Staple est passée maître dans le traitement des individus persuadés d'être des super-héros, en tant que mythomanes, et se donne trois jours pour les soigner.

On l'a déjà dit, Shyamalan a du mal à frayer avec le spectaculaire. Il ne sublime pas la maladie ni le pathétique (il y a d'ailleurs beaucoup d'humour chez la Horde), et poursuit sa vision réaliste et psychologique du héros.
De plus, entre les conditions de détention, l'intervention des différents personnages secondaires mais capitaux, et l'approche psychanalytique à proprement parler, le temps passe vite. Encore une fois, après Incassable puis Split, le réalisateur met en place tous ses éléments doucement, implacablement, afin de rendre les choses crédibles à force d'arguments et de contre-arguments. Les traumas de chaque personnage est le leitmotiv intrinsèque : les trois titres ont à voir avec la fêlure et les destins brisés, et chacun des trois films est centré sur un personnage. Tant va la cruche à l'eau, donc, jusqu'à un final de super-héros tout juste digne de ce nom, puisqu'il fait hommage au genre mais sans se renier pour autant. Donc non, ils ne se bastonneront pas sur la lune.

Les personnage secondaires, souvent révélateurs en tant qu'ennemis, à l'instar du Joker et de Catwoman dans Batman, ou de Lex Luthor dans Superman, etc., sont ici amis et donnent toute leur force aux personnages : ici la mère de Glass, le fils d'Incassable, l'otage amoureuse¹ de Split. Car ici, la force provient de leur croyance et de la confiance qu'on leur accorde.
Anti-spectaculaire au point de truquer sa fin, Night M. Shyamalan nous parle d'un pouvoir tout autre... celui que les dieux de l'Inde ont subtilisé à l'homme... et qu'ils ont dû lui cacher.
Il ne fait finalement qu'appuyer sur l'abcès éclos dans Split.

Il nous rappelle aussi, comme en Aïkido, à se servir de la force de son adversaire. Et c'est vachement bien vu.

Enfin un super-héros qui s'occupe intelligemment au lieu de mettre des pauvres en prison ! Tousse tousse. Désolé.


1. Syndrome de Stockholm oblige.

Cinéma, science fiction, super heros, societe, surhumain, mythologie, critique, analyse, James McAvoy, Samuel L. Jackson, Bruce Willis, M. Night Shyamalan

The One [Film] 2001

Kung-fu | USA |

Ciné - Double Jet, un film d'action interdimensionnel

Le film s'ouvre avec le méchant Jet Li en prison, sur le point d'être transféré. Mais un super-méchant Jet Li arrive et le tue. En tuant ses doubles des mondes parallèles, il devient plus puissant et rapide. Ainsi il élimine toute la troupe d'escorte facilement, mais il est arrêté plus loin par deux flics du multivers (et leurs rayguns futuristes). Ensuite ils sont tous téléportés dans leur univers pour son jugement. Sur le point d'être transféré à perpétuité dans un univers-prison, une jolie fille présente dans la salle fait diversion en explosant une souris à distance. Jet Li reprogramme alors la destination du transfert afin d'assassiner son dernier "double", le gentil Jet Li.

Avec son allure de film HK, The One est pourtant bien un film américain. Un film d'action SF à la sauce wire-fu post-Matrix très cool, à moins d'être allergique. Mais soyons clairs, derrière son argument SF voire, aujourd'hui, scientifique¹, il s'agit surtout d'un film d'action efficace. Une série B avec du second degré dedans.
Statham et Delroy Lindo sont très rigolos en régulateurs à la Terminator-Matrix. Les régulateurs, bientôt stéréotypes de série B² ?
Et l'effet de morphing qui accompagne le transfert, faut vraiment le voir pour le croire.
La fin laisse présager une suite, type survival, genre trilogie foutraque à la Riddick...


1. La théorie du multivers a été formulée pour la première fois par le philosophe grec Anaximandre au VIe siècle av. J.-C. Aujourd'hui c'est un postulat quantique.
2. On pense aux Régulateurs de Stephen King /Bachman, au Régulateur de Corbeyran et Moreno...

Film, science-fiction, action SF, kung-fu, wire-fu, mondes parallèles, dimensions, surhumain, critique, analyse

Knight and day [Film] 2010

Comédie espionnage | USA |

Ciné - Nuit et Jour, un duo explosif et une pile ultra.
Quand une passionnée de mécanique (Cameron Diaz) rencontre un agent secret nextgen¹ légèrement vrillé (Tom Cruise) dans un aéroport, ça donne une comédie d'action fraîche et allumée (je n'osais pas dire brillante).

Elle avait cru rencontrer le prince charmant, mais c'était Cruise dans une auto-parodie... et c'est pourquoi next gen : cet agent secret sait tellement tout faire que ça en devient absurde. C'est bien pour cette raison qu'il peut soit faire penser à une caricature de ses rôles, particulièrement Mission impossible, soit à un agent secret du futur.
L'agent Roy Miller, en mission top secrète, lui apprendra plus tard être en la possession d'une pile ultra², à la durée de vie infinie, qui serait à même de corrompre ses collègues, ainsi que tout un tas de gens qui sont à ses trousses pour s'emparer de cette invention extraordinaire.
Cameron, décidément, joue avec beaucoup de grâce et de style les ravissantes idiotes, ici bavarde et maladroite. Et en l'occurrence, une princesse qui se ferait tout le temps enlever (et qui plus est, chloroformer)³. Tom Cruise, que le scénario aurait certainement voulu plus ambivalent, ne l'est pas du tout, mais il est lui-même en plus allumé, et ça fonctionne. Le duo marche à la perfection.
Avec un peu de fantasy derrière tout ça...

Night and day, in french, une comédie d'espionnage bien balancée.

1. Next gen : prochaine génération
2. Aux oubliettes, le lapin Duracell infatigable !
3. D'où le jeu de mots Knight dans le titre américain.
 

Cinéma, science-fiction, espionnage, surhumain, technologie secrète, critique, analyse, Cameron Diaz, Tom Cruise

Prisoners of power [Film] 2009

Aventures SF | Russie |

Ciné - Crashé sur Saraksh
Prisoners of powers : Battlestar rebellion ; 2157 Planète inconnue ; Dark planet... Ah, tous ces titres qui sentent la série B de vidéoclub, le temps béni de la VHS avec ses chefs d’œuvres inconnus...
Un film de SF utopiste et foncièrement positiviste, un style plutôt léger : il s'agit effectivement d'un film pour adolescents et jeunes adultes, mais comme nous allons le voir, il vaut largement son pesant de cacahuètes...

"2157. L'âge d'or de l'humanité. Armés de la grande théorie de l'éducation, les Hommes ont oublié les guerres, la famine, et le terrorisme. La nature revit, la médecine a réussi à éradiquer les maladies et a permis d'exploiter toutes les facultés du corps humain. Les Terriens ont colonisé de lointaines planètes. Pour les nouvelles générations, les vols de prospection sont monnaie courante, et la dernière race de terriens est aussi forte et téméraire que naïve. Elle pense que rien ne lui est impossible."
A bord de sa fusée personnelle, Maxim discute avec sa grand-mère par "radio". Elle n'a pas fini de le sermonner sur son groupe de recherche libre qu'un astéroïde percute son vaisseau, et le voilà crashé sur Saraksh.

Maxime Kammerer vient de la Terre, une Terre idéale dont on n'apprendra presque rien. Il est parfait : une forme athlétique, une certaine invulnérabilité même. Un personnage qu'on suppose très instruit, mais poussé par l'intelligence du cœur. On ne sait pas trop si c'est à cause de son côté électron libre, ou de sa force incroyable, que les différents services du gouvernement tenteront de lui mettre le grappin dessus.
Un film frais, ambitieux, qui flirte avec 1984 et le mensonge d'état. Il est adapté d'un roman de 1971 paru en France sous le titre de L’Île habitée, écrit par Arcadi et Boris Strougatski, aussi auteurs de Stalker (1972) et Il est difficile d'être un dieu, également portés à l'écran. Dans leurs romans ils n'épargnent pas le régime soviétique, qui les censurera dès 1969, mais ils continueront de publier clandestinement jusque dans les années 80.
De son côté, le réalisateur Fiodor Bondartchouk fera Attraction en 2017.

2157 est tout-à-fait intéressant car malgré son côté grosse prod pour ados (le personnage principal est, en quelque sorte, un étudiant en voyage linguistique). L'utopie est un genre particulièrement difficile, et prend ici la forme d'une "utopie en balade dans une dystopie¹". La dystopie est déjà digérée, et sert ici essentiellement de décor.
Si on est loin du traitement d'Andreï Tarkovsky sur Stalker, ou même de la dernière adaptation, un poil incongrue et théâtrale, d'Il est difficile d'être un dieu, il explore des sujets tout aussi intéressants comme la société de contrôle, le choc des cultures, l'éducation, le surhumain...
2157 c'est aussi la rencontre d'un militaire et d'un pacifiste, et donc, il prend par moments la forme d'un buddy movie original.
Dans le futur, les héros sont de grands blondinets frisés avec des sweats à capuche, et la fange des bas-fonds, des dark cosplayeurs. Mais justement, les personnages sont très typés et de nombreuses trouvailles visuelles ponctuent ce film très "bande-dessinée", c'est-à-dire coloré et décomplexé.

Les décors, assemblages de béton obliques, rappellent l'architecture post-constructiviste. Un monde futuriste régi par des Pères inconnus, où l'on trouve patrouilles volantes, cyborgs, des designs de véhicules beaux et rares (on pense à Total recall), mais surtout efficaces.

Un découpage épique qui pourra surprendre ou ennuyer : il s'agit en fait d'une compilation de deux films, réalisée pour l'international.



1. Pas si dystopique d'ailleurs : où les prisonniers ne sont pas menottés, où les fonctionnaires commettent des fautes graves et sont tout simplement virés, où d'ailleurs ils éteignent leur cigarette à la demande des prisonniers, où les chefs d'état reçoivent des appels de leur "papa". On est loin du manichéisme à la Star wars...

Film, science, fiction, space opera, dystopie, utopie, colonisation spatiale, mutation, théorie de l'éducation, action SF, surhumain, cyborg, critique, analyse

Supernova [Film] 2000

Rescue movie | USA, Suisse |

Ciné - Un rescue movie qui ne tourne pas assez mal : Supernova
Comment dire, écrire une critique de Supernova c'est comme parler de l'oligocène et d'un medley d'Earth, wind and fire en même temps. Déjà parce que de l'eau a coulé sous les ponts en matière de SF, mais aussi parce qu'il tient du bricolage. Et puis parler de ses thèmes, ce serait un peu le spoiler. Cette analyse ne sera donc pas comme j'aurais aimé qu'elle soit. M'enfin !

J'avais trouvé ce film il y a déjà un petit moment, en parcourant la filmographie d'Angela Bassett que j'avais adoré dans Strange days, et ce fut une bonne surprise. Sauf que je ne n'avais pas vu ce que l'affiche promettait : "La terreur a une nouvelle dimension". Et heureusement.
Six personnages embarqués dans un "vaisseau de sauvetage d'urgences médicales" (wtf?) avec une Intelligence Artificielle un peu dérangée en guise d'ordinateur de vol.
Donc l'histoire commence au milieu de nulle part, au XXII° siècle, avec Benjamin, l'informaticien, et son I.A. reprogrammée qui veut jouer aux échecs en plein cycle de nuit, un couple qui tue l'ennui en faisant l'amur (au point d'oublier de bosser), un commandant qui fait une thèse d'anthropologie sur les dessins animés du XX° siècle¹, un militaire en cure de désintox au Hazen, une doctoresse docteure. Et un robot qui ne sait pas mettre un pied devant l'autre correctement.
Le vaisseau reçoit un signal de détresse provenant de Titan 37, une planète minière abandonnée bien au-delà des postes les plus avancés. La planète a quitté son orbite pour une raison inconnue, c'est pourquoi elle dérive dans l'espace non-cartographié. A 3432 années-lumières de là, le message a été envoyé il y a cinq jours, et il est signé Carl James Larsen, c'est l'ex de la docteure qui était accro au Hazen.
On a ici un premier flash-forward².
Donc nous sommes dans un univers où les messages "radio" parcourt 3432 a-l en cinq jours, et où les vaisseaux voyagent à la vitesse de la lumière et parcourent ces mêmes 3432 en quelques minutes, alors que parallèlement la technologie de la robotique semble avoir été complètement délaissée... Ça sent franchement la fumisterie mais admettons. Mettons ça sur le dos de la traduction pour l'instant³. D'autant plus que l'I.A. parle d'un saut dimensionnel plus tard, et même d'une accélération plasmatique, OK ? Chose faite (le saut est d'ailleurs très réussi), ils se retrouvent parmi les débris d'une planète explosée, avec un commandant en forme de galette bretonne alien vivante⁴. Rapidement un astéroïde détruit le réservoir principal⁵ et la panade commence.

Expliquer le naufrage du film ? En plus d'une fabrication s'étendant sur plusieurs années, des refilmages suite à plusieurs changements de réalisateurs et même d'intentions, des dépassements de budget incessants puis stoppés, on pourra constater que la rigueur scientifique n'y était pas. Et pour certains commentateurs, les comédiens non plus n'avaient pas l'air d'y être.
Pour moi le ton est assez juste, on a quand même affaire à des "tronches" en self-control... vous trouvez Thomas Pesquet expressif vous ? Des gens équilibrés, stables, à l'humeur égale⁶. Imaginez-vous dans l'espace, vous seriez comment ? Paniqué ? Euphorique ? Hystérique ? Normal ? James Spader à contre-emploi n'est pas mal non plus, d'autant plus que sa lassitude est expliquée par sa désintox au hazen. Le personnage joué par Emilo "la Bamba" Estevez, lui, n'a aucune épaisseur.

Cependant, le film a été plutôt mal vendu comme le nouveau film horrifique dans l'espace, ce qu'il n'est pas du tout. Et donc, quel est le genre du film ?
Rencontre du deuxième type et demi, vie et survie dans l'espace, mutation... de nombreux thèmes parcourent le film. Et de nombreux genres transparaissent : space opéra, survival sans suspense, huis-clos... Mais est-ce que 2001 avait un genre défini ?  Interstellar ? Prityazhenie ? Si le genre est parfois un ensemble de code pour raconter une histoire, il est avant tout une convention et un contrat tacite avec le spectateur.

Alors pas de suspense, pas de frisson, mais une bonne idée d'histoire avec de bonnes idées dedans.


1. Et pourquoi pas les films SF des fifties tant qu'on y est ?
2. Flash du futur.
3. Quasiment pareil en v.o.
4. Une recette de galette piquée à The Thing.
5. Quoi ils sont pas équipés contre ce genre de pépin au XXII° siècle ?
6. Le même reproche avait déjà été fait à 2001, l'Odyssée de l'espace.

Cinéma, science-fiction, colonisation spatiale, IA, critique, analyse, Walter Hill, James Spader, Angela Bassett

Hyper tension 2 [Film] 2009

Action | USA |

Comment j'ai cranqué à la voyure de cé movie (expression québécoise) !!

Ciné - Une "action comedy" déjantée : Hypertension 2
Quand je suis tombé sur ce film, je n'avais ni vu le premier, et Hardcore Henry n'était pas encore sorti ; c'était une grosse claque qui venait de nulle part. De nulle part, vraiment ? C'est ce que nous allons voir.

En pixel art (les deux Crank sont très inspirés par le jeu vidéo), deux types tombent d'un hélicoptère qui survole la ville, sur une musique industrielle, et le titre CRANK puis HIGH VOLTAGE qui clignote en négatif. On passe en film live : Jason Statham rebondit sur une voiture et retombe dix mètres plus loin, face caméra. Sur ce une fourgonnette arrive, NEUF types en descendent, le décollent du bitume à la PELLE (oui oui : à la pelle) et l'embarquent¹. Après qu'un présentateur de JT nous ai répété la scène² mot pour mot, on retrouve Statham (Chev Chelios) sur une table d'opération dans une clinique clandestine. On lui retire son cœur de lion, destiné à un riche client, et lui remplace par un artificiel. La principale opération effectuée, les médecins discutent du schéma de découpe. En apprenant qu'on va tout lui prendre jusqu'à son appareil géniteur, il fait un bond et trucide les médics avec leurs propres outils médicaux. On sent tout-de-suite que le spectacle va être, disons, testiculé et bien limitless. Évidemment c'est du grand n'importe quoi, mais c'est dynamique vu que le mec oscille entre coups de mou et recharges en triphasé, et puis qu'il est pas mal pressé de récupérer son vrai cœur (la batterie du cœur artificiel est provisoire, prévue pour servir le temps de l'opération).
Autre fait intéressant, c'est qu'il y a beaucoup de petits nichons, et ça change (on est en 2009). C'est d'ailleurs tout ce qu'il y a de bon goût dans cette bande, ce goût du vrai³.

 

Un montage hystérique, un thème sonore détendu. Du style. Crank, c'est un peu la succession de Dobermann, Desperado, Street Trash, Enfermés dehors, Pusher... Et allez, avec un peu de Shocker aussi. Pas moins. C'est pas toujours égal mais ça réserve de bons moments. Le concept étant basé sur une surenchère permanente, l'épisode est à deux doigts de faire de son personnage principal un super-héros. Le premier film, c'était du pipi de chat à comparer, et pourtant il était déjà assez incroyable.
Dans le premier épisode, Chev Chelios devait prendre des excitants et se maintenir en mouvement pour contrecarrer les effets d'un poison qu'on lui avait injecté pendant son sommeil. C'est ici d'électricité qu'il a besoin pour rebooster la batterie du cœur artificiel. La caméra est survoltée aussi, et c'est tourné à Los Angeles, dans la rue, voire même à l'insu des habitants pour certaines scènes. Ce qui a pour effet d'accentuer une sorte de réalisme, pris sur le vif.

Pour qui ne craint pas le mauvais goût, Crank est une action comédie à ne pas rater...



1. Et dire qu'on disait de Dobermann qu'il était "BD" et de mauvais goût, avec ses conducteurs de fourgons blindés qui râpent le bitume ou Romain Duris se faisant flinguer la nouille !
2. Pour l'effet réaliste et une immersion rapide, sûrement.
3. Le Goût du vrai est par ailleurs le titre d'une conférence d’Étienne Klein.

Action, science-fiction, cinéma, mutations, kaiju, critique, analyse, Jason Statham, Amy Smart

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